Informations pratiques
Date limite pour soumettre une proposition : 1er janvier 2026
Format des propositions :
- Résumé de 350 mots
- Courte bibliographie (5 références)
- Brève biographie (5 lignes)
Envoi des propositions :
- Andréanne Martel (martel.andreanne.4@courrier.uqam.ca)
- Justine Gagnon (justine.gagnon@ggr.ulaval.ca)
Langues acceptées : Français (et probablement anglais, selon les pratiques habituelles)
Public cible : Chercheur·e·s en histoire, géographie, linguistique, histoire de l’art, muséologie, archivistique, littérature, anthropologie, artistes, ainsi que membres et représentant·e·s de communautés autochtones.
Thématique et objectifs
Ces journées visent à interroger le rôle des cartes anciennes et des toponymes dans la construction des savoirs, des imaginaires et des rapports de pouvoir. Trois axes principaux sont proposés :
- Cartographier et nommer le vivant : Étudier la manière dont les cartes anciennes documentent le vivant et les savoirs autochtones.
- Récits et imaginaires coloniaux : Analyser la fabrique toponymique et ses effets sur la mémoire et les identités territoriales.
- Réinvestir l’espace par la contre-cartographie et la contre-archive : Explorer les stratégies contemporaines de décolonisation des savoirs géographiques.
L’événement s’inscrit dans une réflexion critique sur la cartographie coloniale et ses héritages, tout en mettant en lumière les initiatives autochtones de réappropriation des territoires et des noms.
Organisatrices
- Andréanne Martel, doctorante en histoire de l'art (UQAM et Université de Genève)
- Justine Gagnon, professeure de géographie adjointe (Université Laval)
- Caroline Nepton Hotte, professeure d'histoire de l'art (UQAM)
Avec le soutien du Groupe de recherche en histoire des sociabilités (GRHS), du Réseau Art et Architecture du 19e siècle (RAA19) et du Département de géographie et environnement de l’Université de Genève.

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